Remède sommeil #1

Fin avril, en plein confinement, j’allais me retrouver en fin de somnifères. La délivrance nécessitant une ordonnance sécurisée, mon médecin ne pouvait pas me l’adresser par mail, il fallait soit que je passe à son cabinet, soit que je me rende à la pharmacie pour expliquer le problème.

Comme j’étais confiné dans un autre département que celui de mon domicile, et que cela me coûtait de partir argumenter auprès du pharmacien, j’ai décidé d’arrêter tout simplement. J’avais déjà été accompagné médicalement pour tenter un sevrage, mais cela n’avait pas fonctionné. Je prends des somnifères depuis de nombreuses années.

Comme par enchantement (synchronicité!), je suis tombé sur un article paru dans la revue “Plantes et Bien-être”, qui recensait les aides phyto au sommeil. Bingo! Je venais de trouver le protocole à expérimenter!

Cela fait maintenant 3 semaines que je le suis, et je dors assez souvent d’un bon et profond sommeil, même s’il m’arrive de me réveiller tôt parfois. Une vraie révolution!! Et si, après une mauvaise nuit, je sens le besoin de vraiment récupérer, je ne m’interdis pas de recourir en dépannage au somnifère, c’est une sécurité pour le mental.

Voici la prescription que je m’administre au coucher:

  • 2 gellules de coquelicot
  • 1 gellule de pavot de Californie
  • 2 gellules de balotte
Les 3 ingrédients qui me fournissent un sommeil de qualité: balotte, coquelicot, pavot de Californie

En parallèle, j’entreprends une reprise d’activité sportive, et un rééquilibrage complet du mode alimentaire.

Si vous essayez ce protocole, donnez m’en des nouvelles!

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2 réflexions au sujet de “Remède sommeil #1”

  1. Bonjour Anthony,
    D’ores et déjà, bravo pour ton blog ! pour avoir franchi le pas, publié (j’en ai un aussi, qui est l’état … euh … mort ! lol !). Très intéressant ton protocole et franchement, tu as fort bien fait d’arrêter les petites pilules qui ne sont pas du tout miraculeuses et ne font, à mon sens mais ça n’engage que moi, qu’aggraver les choses.
    Pour ma part, j’ai en ce moment un mauvais sommeil, mais comme toi à coup de remèdes phyto, j’arrive malgré tout à me ménager quelques nuits tranquilles d’a peu près 6 heures consécutives. Je sais que c’est à cause de la charge mentale énorme que je me fous sur les épaules, encore plus à cause du confinement qui nous prive de nos libertés et nous empêche de nous rencontrer, nous êtres humains, êtres de relation, qui avons besoin de faire la fête, de nous cultiver, de nous amuser … et aussi parce que je ne trouve pas d’emploi pérenne. Mais comme toi j’explore, je ne désespère pas. Et j’aime bien ton approche globale … euh, comment elle s’appelle déjà ? Encore un grand bravo. Amicalement,

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    • Merci Béatrice! C’est une très bonne chose que tu sois parvenue à trouver des protocoles validés par ton expérience, pour te maintenir à flots quelques nuits. Ca requiert énormément de temps, de tests, de fatigue, d’engagement, et de solitude car l’insomnie plonge celui ou celle qui en souffre dans une totale désespérance, ne serait-ce à cause de ne pas savoir comment s’en sortir, mais tout simplement en raison des impacts physiologiques que la privation de sommeil engendre, avec le dérèglement des hormones, du cycle circadien etc.

      L’approche que je propose consiste à accepter son handicap dans un premier temps, l’explorer si on n’a pas assez de recul sur le sujet, dans un deuxième temps, et enfin le résoudre progressivement, ou bien l’assumer complètement, ce qui est mon cas. C’est ce que j’appelle une approche décomplexée! :-D.

      Au plaisir Béatrice!

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